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Effleurements livresques, épanchements maltés

J'ai écrit et j'écris les textes de ce blog; beaucoup sont régulièrement publiés en revues; j'essaie de citer mes sources, quand je le peux; ce sont des poèmes ou des textes autour des gens que j'aime, la Bible, Shakespeare, le rugby, les single malts, Eschyle ou Sophocle, la peinture, Charlie Parker ou Sibelius, la définition de l'infini de David Hilbert, les marches ici et ailleurs...Et toujours cette phrase de Halldor Laxness: 'leur injustice est terrible, leur justice, pire encore.' oliphernes@gmail.com

The Fabelmans

The Fabelmans

Le jeune Spielberg renaît sous le nom de Sammy Fabelman,

un petit garçon du New Jersey des années 1950

qui est frappé par le cinéma comme par la foudre

lorsqu'il voit Sous le plus grand chapiteau du monde de Cecil B DeMille ;

il est ébahi devant la scène de l'accident de train,

qu'il remet en scène de manière obsessionnelle 

avec un train jouet et une caméra 8 mm.

Cette scène est basée sur un événement réel,

ou en tout cas sur un vrai souvenir.

Spielberg veut-il que nous pensions au commentaire d'Orson Welles:

“Un studio de cinéma est le plus grand train électrique qu'un garçon ait jamais eu".

La seule légende du cinéma que Sammy finit par rencontrer est John Ford,

joué ici par une autre légende du cinéma –

je vous laisse le plaisir de le découvrir ...

 

Ce film est-il l'enfance de Steven?

Il y a tellement de blessures dans les non-dits des images

qu'on sera tenté de le croire.

Ces scènes entremêlées aux premiers films amateurs de l'adolescent

contribuent à une une réussite

qui laisse un sentiment flottant de bonheur.

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