J'ai écrit et j'écris les textes de ce blog; beaucoup sont régulièrement publiés en revues; j'essaie de citer mes sources, quand je le peux; ce sont des poèmes ou des textes autour des gens que j'aime, la Bible, Shakespeare, le rugby, les single malts, Eschyle ou Sophocle, la peinture, Charlie Parker ou Sibelius, la définition de l'infini de David Hilbert, les marches ici et ailleurs...Et toujours cette phrase de Halldor Laxness: 'leur injustice est terrible, leur justice, pire encore.' oliphernes@gmail.com
22 Juillet 2022
La première partie de ce diptyque commençait à un passage à niveau,
3 heures et 53 minutes - et une semaine entre –
la seconde partie se termine au même passage à niveau.
Elle est tout aussi oppressante,
les personnages se déplacent entre les refus –
les leurs à ceux qui les aiment,
et ceux que les personnes qu'ils aiment opposent à leur désir...
Tout cela dans une narration totalement improbable,
mais cela est sans importance,
ce que l'on suit, ce que l'on attend
c'est le sort que vont se réserver Tsuji et Ukiyo...
C'est du cinéma que ferait un Rohmer japonais, doué de talent.