J'ai écrit et j'écris les textes de ce blog; beaucoup sont régulièrement publiés en revues; j'essaie de citer mes sources, quand je le peux; ce sont des poèmes ou des textes autour des gens que j'aime, la Bible, Shakespeare, le rugby, les single malts, Eschyle ou Sophocle, la peinture, Charlie Parker ou Sibelius, la définition de l'infini de David Hilbert, les marches ici et ailleurs...Et toujours cette phrase de Halldor Laxness: 'leur injustice est terrible, leur justice, pire encore.' oliphernes@gmail.com
4 Août 2024
Pop anglaise, additionnée de blues dans un cloître par, enfin, une soirée sans pluie.
Quatre musiciens qui forment un groupe de plaisir...et de musique, le guitariste pourrait être un autre Brian Jones, tel que je l’avais vu - indication qui vous donne une idée de mon âge - dans un pub (à cette époque là, on pouvait voir les Stones dans des pubs, pour à peine plus que le prix de la bière…) chez les djeordies,
as they say, the more you go north, the better the beer, the better the girls,
et la fille, what a spell she put on me...
mais trêve de balivernes et de souvenirs si anciens,
je reviens à Shakespeare,
(“Qu’est-ce qui vient faire là celui-là?” me demande la foule en liesse)
j’avais emporté les deux premiers vers du sonnet 8:
Music to hear, why hear'st thou music sadly?
Sweets with sweets war not, joy delights in joy:
depuis des années j’essaie de les traduire de façon poétiquement satisfaisante,
(le sens n’est pas compliqué)
mais comment faire deux décasyllabes corrects, voire deux alexandrins
(mais ce vers se prête moins à Shakespeare)
Si vous avez une idée,
je suis preneur
ceci étant cette musique d’un autre temps m’a un peu aidé
je proposerai bientôt ma traduction...
Merci aux Cinelli brothers.