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Effleurements livresques, épanchements maltés

J'ai écrit et j'écris les textes de ce blog; beaucoup sont régulièrement publiés en revues; j'essaie de citer mes sources, quand je le peux; ce sont des poèmes ou des textes autour des gens que j'aime, la Bible, Shakespeare, le rugby, les single malts, Eschyle ou Sophocle, la peinture, Charlie Parker ou Sibelius, la définition de l'infini de David Hilbert, les marches ici et ailleurs...Et toujours cette phrase de Halldor Laxness: 'leur injustice est terrible, leur justice, pire encore.' oliphernes@gmail.com

Jazz, jazz...

Jazz, jazz...

Jazz à Brou

 

 

Que se passe-t-il quand un pianiste virtuose,

un drummer aussi subtil que brillant

et un contrebassiste, étincelant amoureux de sa contrebasse et de …

font un trio magique,

ce soir-là,

qui accompagne,

qui met en lumières (et en sons)

une fascinante chanteuse,

qui sait la douceur des douleurs,

et toutes les couleurs des heures,

que se passe-t-il ?

Une magique beauté...

Et je me suis pris à chanter les citations d'une caravane

et j'ai entendu le Duke improviser sous les doigts d'Alfio...

et une très émouvante No love Dying.

L'amour chanté et interprété ainsi

peut-il mourir, Mr Gregory Porter?

 

 

 

Célia Kaméni chante Alfio Origlio est au piano, Brice Berrerd à la contrebasse, Zaza Desiderio à la batterie.

au monastère royal de Brou

 

 

 

Caravan (Duke Ellington,  Juan Tizol et Irving Mills, 1937)

No love dying composition de Gregory Porter

©Mermed 29 Août 2022

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