13 Février 2024
je veux apporter une préciion, j'avais lu ce roman, en Juillet 2023, alors que j'étais encore sous les effets de la kétamine que l'on m'avait administrée alors que j'étais en soins intensifs après une chute qui m'a valu dix-neuf fractures de la cage thoracique. Je l'ai lu sur mon lit, mais j'avais absolument tout oublié...)
Un polar thilliezien, tout y est, du passage de la mort avec Dante au paranormal le plus ahurissant, tout y est, peut être un peu trop Franck?
J’ ai appris trois choses en lisant La Faille:
les transis, ces sculptures du Moyen-âge qui représentent le mort de façon très réaliste. J’avais vu au moins une de ces sculptures, celle de Ligier Richier à Bar le Duc (Église Saint-Étienne) mais je n’en connaissais pas le nom.
Puis la définition de la mort en droit français, dans un décret de 1966, qui dit qu’elle doit avoir "le caractère irréversible de la destruction encéphalique."
Enfin, j’ai appris qu’existait une maladie orpheline, la maladie de l'homme de pierre, ou fibrodysplasie ossifiante progressive, maladie héréditaire qui se manifeste avant que l’enfant ait 5 ans et qui touche une personne sur deux millions. Elle enferme progressivement le corps humain dans un second squelette. Les muscles et les tissus se transforment en plaques osseuses, les articulations cessent de fonctionner, et le malade se trouve rapidement dans l'incapacité de se mouvoir. (merci à internet pour ces renseignements)
C’est tout ce que je retiendrai de ce roman.