O! for my sake do you with* Fortune chide,
The guilty goddess of my harmful deeds,
That did not better for my life provide
Than public means which public manners breeds
Thence comes it that my name receives a brand,
And almost thence my nature is subdued
To what it works in, like the dyer's hand:
Pity me, then, and wish I were renewed;
Whilst, like a willing patient, I will drink
Potions of eisel 'gainst my strong infection;
No bitterness that I will bitter think,
Nor double penance, to correct correction.
Pity me then, dear friend, and I assure ye,
Even that your pity is enough to cure me.
Va rabrouer pour mon compte cette idole,
le destin, coupable de mes actes iniques,
qui ne m'a laissé pour vivre que des oboles
publiques, entâchées de manières publiques.
Voici pourquoi mon nom est stigmatisé,
que ma nature porte presque la signature
de mon travail, comme la main du teinturier:
prends pitié, souhaite moi une autre nature;
je boirai alors, tel un patient docile,
du vinaigre, potion contre mon infection;
je ne trouverai amère aucune bile,
ni double peine, pour corriger la correction.
aie pitié, cher ami, et je t'assure
même que ta pitié me suffit comme cure.
Ce n'est pas assez de tes mots inventés,
de tes constructions Léonardiennes, le Quarto s'en mêle aussi,
O! for my sake do you with Fortune chide,
O! for my sake do you wish Fortune chide,
pour une fois,
hésitation mais sans problème de compréhension...
© Mermed 2014-2015