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Effleurements livresques, épanchements maltés

J'ai écrit et j'écris les textes de ce blog; beaucoup sont régulièrement publiés en revues; j'essaie de citer mes sources, quand je le peux; ce sont des poèmes ou des textes autour des gens que j'aime, la Bible, Shakespeare, le rugby, les single malts, Eschyle ou Sophocle, la peinture, Charlie Parker ou Sibelius, la définition de l'infini de David Hilbert, les marches ici et ailleurs...Et toujours cette phrase de Halldor Laxness: 'leur injustice est terrible, leur justice, pire encore.' oliphernes@gmail.com

Madame Tchaïkovski

La scène originale...

La scène originale...

Deux scènes ont retenu tout particulièrement mon attention,

la première – je parlerai de la seconde au bout de ces lignes -

quand Kirill copie :

Madame Tchaïkovski juge de la virilité dénudée de quelques jeunes gens,

comme Tuesday Weld le faisait pour Sergio Leone (Il était une fois en Amérique).

Pendant tout le reste du film, j'ai pu me dire,

ainsi que le dit Antonina, à qui l'on vient enlever son piano:

je souffre, j'ai souffert”

car, moi aussi j'ai souffert pendant les quatre on cinq heures

que durent les deux heures et quart du film...

Et l'on arrive à la deuxième scène que j'ai tant aimé:

la dernière,

celle qui met fin à ce monument d'ennui...

Je dois à la vérité de dire que les images sont belles,

même si tout n'est filmé qu'en plans très serrés.

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