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Effleurements livresques, épanchements maltés

J'ai écrit et j'écris les textes de ce blog; beaucoup sont régulièrement publiés en revues; j'essaie de citer mes sources, quand je le peux; ce sont des poèmes ou des textes autour des gens que j'aime, la Bible, Shakespeare, le rugby, les single malts, Eschyle ou Sophocle, la peinture, Charlie Parker ou Sibelius, la définition de l'infini de David Hilbert, les marches ici et ailleurs...Et toujours cette phrase de Halldor Laxness: 'leur injustice est terrible, leur justice, pire encore.' oliphernes@gmail.com

Everything everywhere all at once

Everything everywhere all at once

Le casting est magnifique.

C'est tout.

Ce film ressemble à un film d'art et d'essai

réalisé pour la génération Tik Tok /woke,

pour personnes qui ne peuvent fixer trop longtemps

(c'est à dire plus de cinq secondes – durée moyenne d'un plan) leur attention.

C'est aléatoire,

chaotique

et absurdement rapide.
 

C'est un film macronien,

il essaie d'être en même temps

un film d'art,

un film de science-fiction,

un film de kung-fu,

une comédie/film absurde

et un drame familial.

Le résultat c'est l'autre catastrophe industrielle

du week end en Californie du 11/12 Mars:

une banque qui fait faillite

et sept oscars pour ce pensum –

je n'ai pas tenu jusqu'au bout –

ce qui ne m'était plus arrivé depuis que j'avais tenté l'expérience d'un film Marvel...

 

 

 

Je l'ai vu sur Canal, ne vous abonnez pas pour le voir.

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