Un portique,
pour rattacher les ruines anciennes à l'église,
traduction en architecture -
si l'on n'avait pas bien compris -
de la fresque du porche,
lutte du bien -
l'évangélisation meurtrière -
contre le mal -
la résistance de Tupac Amaru,
à la lumineuse et charitablement assassine cathéchèse mono-polythéiste.
On entre,
s'attendant au pire,
et,
bonheur, un plafond, des murs peints,
splendidement,
une église de Bucovine,
à près de quatre mille mètres,
dans les Andes Quechuanes.
Sumaq.
© Mermed