22 Juillet 2022
La première partie de ce diptyque commençait à un passage à niveau,
3 heures et 53 minutes - et une semaine entre –
la seconde partie se termine au même passage à niveau.
Elle est tout aussi oppressante,
les personnages se déplacent entre les refus –
les leurs à ceux qui les aiment,
et ceux que les personnes qu'ils aiment opposent à leur désir...
Tout cela dans une narration totalement improbable,
mais cela est sans importance,
ce que l'on suit, ce que l'on attend
c'est le sort que vont se réserver Tsuji et Ukiyo...
C'est du cinéma que ferait un Rohmer japonais, doué de talent.